Dans
l’atelier perdu sous le ciel de Paris,
un homme dessine un
monde en lignes infinies.
Des figures s’élèvent, graciles et
troublantes,
leur regard de mystère à jamais les enchante.
Des masques d’Afrique aux formes d’un ailleurs,
ses mains
sculptent des corps aux courbes de splendeur.
L’amour guide
ses traits, son pinceau les éclaire,
mais l’ombre du destin
déjà plane, austère.
Une douce lumière, muse et flamme en un jour,
devint l’âme
d’un homme et la fin de l’amour.
Quand la vie se retire, le
pinceau se repose,
mais l’éclat de son art dans l’éternité
explose.
Sous les voûtes du temps, ses œuvres témoignent,
d’une
quête absolue où les âmes se joignent.
L’artiste repose,
mais son art demeure,
un hymne à la beauté, né d’un cœur
en douleur.
Didier Guy
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire