Un vent nouveau traverse l’ombre,
Un chant s’élève au firmament,
Il brise les murs, dissipe l’encombre,
Fusionne les âmes et le temps.
Nulle frontière et nul visage,
Nulle croyance en opposition,
Juste une flamme, un doux présage,
Un même cœur, une vision.
Les mains se lient, l’espoir s’anime,
Des voix résonnent en harmonie,
Un même rêve, un même abîme,
Un pont tissé d’infini.
Que l’amour soit la seule étoile,
Que l’être vibre en son éclat,
Car sous la chair, sous la toile,
C’est un seul souffle qui bat.
Didier Guy
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