teintant l'asphalte et les regards.
Un instant, tout semble se taire,
le monde retient son écart.
La lumière, lourde, s'étire,
glisse sur les vitres, les mains.
On croit voir l'heure déchirée,
avant que tout ne reprenne son train.
Didier Guy
Dans l'azur immobile, je flotte suspendu entre ciel et néant, le vide m'étreint, me caresse de ses doigts froids et transparent. Cha...
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