l'ombre danse, forme vagabonde.
Ses doigts frôlent l'air immobile,
tracent des signes sur la toile fragile.
Une lueur nacrée s'élève,
fantasmagorie qui se lève.
Les couleurs opalines tournent,
autour du charme qui séjourne.
Le sortilège ancien s'éveille,
mémoire des temps qui sommeillent.
Chaque geste invoque le mystère,
révélant des mondes à découvrir.
L'air frémit de magie ancienne,
où réalité et rêve se mélangent.
Dans cette danse surnaturelle,
l'impossible devient éternel.
Didier Guy
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