son éburnéité grise révèle des secrets.
La ville ne dort jamais, artères mécaniques
pompent la vie dans ses reflets.
Les fenêtres s'allument comme des phares,
chaque étage raconte une histoire différente.
Le bitume reflète les néons bizarres?
pendant que l'acier chante sa complainte.
Dans cette jungle de verre et de pierre,
l'humanité pulse entre les façades.
Les rues serpentent, rivières de lumière,
où se perdent nos plus belles parades.
Le béton respire, la ville palpite,
dans ce labyrinthe qui jamais ne s'arrête.
Chaque coin de rue une nouvelle visite
vers l'infini de cette planète.
Didier Guy
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