Le vent soupir contre ma fenêtre,
portant des secrets que je ne saisis.
Une ombre grise vient tout recouvrir,
le chant des étoiles s'évanouit.
Quel mystère plane dans cette nuit ?
Les astres se taisent, perdus, lointains.
Je cherche des réponses dans le vide,
mais seul le silence occupe mes mains.
L'obscurité avance, implacable,
engloutit la lumière et mes espoirs.
Dans ce théâtre d'ombres et de vent,
je reste spectateur de mes propres soirs.
Didier Guy
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