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Affichage des articles du novembre, 2025

Symphonie des Horizons

  Le sitar pleure en Inde un râga doré, tandis qu'à Cuba, le conga s'envole, le violon tzigane enflamme les nuits d'été, et le djembé bat la terre qui s'émerveille. À Rio, la samba danse sous les palmiers, les kora d'Afrique chantent l'espoir, les flûtes andines caressent les sommets, et le oud chuchote des secrets au crépuscule. Que le monde entier s'accorde en un seul chant, où chaque note est un pont, chaque rythme un élan, car la musique, joyau sans frontière, fait vibrer nos cœur en une même lumière ! Didier Guy

Symphonie des Horizons

  Le sitar pleure en Inde un râga doré, tandis qu'à Cuba, le conga s'envole, le violon tzigane enflamme les nuits d'été, et le djembé bat la terre qui s'émerveille. À Rio, la samba danse sous les palmiers, les kora d'Afrique chantent l'espoir, les flûtes andines caressent les sommets, et le oud chuchote des secrets au crépuscule. Que le monde entier s'accorde en un seul chant, où chaque note est un pont, chaque rythme un élan, car la musique, joyau sans frontière, fait vibrer nos cœur en une même lumière ! Didier Guy

Symphonie de Glace

  Dans le silence, ta voix résonne plus fort, chaque battement du cœur compte tes pas. Je cherche ta chaleur dans le décor d'une maison qui ne te reconnaît pas. L'air que tu respirais garde ta forme, les objets portent l'empreinte de tes mains. Ton absence n'est pas un vide, elle transforme chaque seconde en un voyage incertain. Je brûle de ce froid qui te ressemble, cette blancheur aveuglante me consume. ta présence manquée devient l'ensemble de tout ce que je suis, de tout ce que j'assume. Les notes que tu laissas derrière toi composent une mélodie sans partition, une harmonie glacée qui m'impose sa loi, Un concert silencieux, pure contradiction Didier Guy

La stridence pourpre sous la langue

  Le matin traverse mon crâne d'acier, sous la lumière, chaque bruit s'aiguise. Une saveur âpre danse sur mes lèvres, rouge opaque, mordant, sans apaisement. J'avale ce silence brûlé, étrange alliage, le goût métallique colle au palais. La vérité s'impose, indomptable, sur ma peau, un pincement vermeil. L'air vibre entre mes doigts contractés, mes sens exaspérés, tendus vers la faille. Je regarde la pièce, tout est trop net, le monde s'essouffle sur mes nerfs effilés. Avant l'aube, j'étais tout proche du calme, maintenant, la couleur hurle, et le silence, ce métal précieux, me laisse seul dans son éclat insoutenable. Didier Guy