samedi 31 mai 2025
Rouge Suspendu
vendredi 30 mai 2025
Le mot de passe céleste
jeudi 29 mai 2025
Reflet d'un instant
mercredi 28 mai 2025
Le souffle de la terre nue
mardi 27 mai 2025
Le Pavé Insurgé
lundi 26 mai 2025
Symphonie en pourpre
dimanche 25 mai 2025
Fenêtre qui veille
Divin Pari Risqué
vendredi 23 mai 2025
Le stylo ivre
jeudi 22 mai 2025
Sous la peau du silence
mercredi 21 mai 2025
Les pierres ont des souvenirs rouges
Dans les veines du mur palpite une saison,
une plainte figée, gravée sans pardon.
Chaque brique enferme un serment brisé,
rouge séché, durci, dans l'ombre posée.
Ils n'avaient que leurs poings pour vérité,
des cris rugueux à la place d'un traité.
Des corps sans nom, fauchés sans égard,
offerts au béton comme de vains étendards.
Les balles s'enfonçaient sans remords,
et la poussière, complice, scellait le sort.
Le silence s'est bâti sur leurs torses,
mais le ciment saigne encore sous la force.
Didier Guy
mardi 20 mai 2025
Le Temps Dérobé
lundi 19 mai 2025
Le Codex qui s'assoupit
dimanche 18 mai 2025
Marche de l'oublié
samedi 17 mai 2025
Le Sommeil des Batraciens
Les Barricades de l'Aube
jeudi 15 mai 2025
Le Parfum du Vide
mercredi 14 mai 2025
La Mémoire Silencieuse
mardi 13 mai 2025
Nuit blanche lunaire
Dans la chambre close, à 3h07,
L'astre pâle s'étrangle d'ombre
Derrière les lames des volets.
Le temps suspend ses battements
Quand la nuit avale ses complaintes.
lundi 12 mai 2025
Tweet du Ciel
Le Chant du Ticket
Un rectangle froissé, bleu et fatigué,
se souvient des doigts qui l’ont serré.
Il fredonne un air sans paroles,
comme un oiseau pris dans les écoles.
Sa mélodie, fine et têtue,
traverse le temps qui s’est tu.
"Adieu" sonne en clé de silence,
preuve d’un départ ou d’une absence.
Didier Guy
samedi 10 mai 2025
La Carte des Fièvres
vendredi 9 mai 2025
Nuit renversée sur l'eau figée
jeudi 8 mai 2025
L'insoumise
Ce qui fond dans la lumière
Un souffle chaud sur une tasse froide,
et ton absence au bord du jour.
Le ciel s'efface, couleur pâle,
rien que l'ombre d'un ancien détour.
L'air semble lourd de ce qui pèse,
une phrase presque commencée.
Le silence glisse, il apaise,
mais ne parvient pas à m'effacer.
Tes lèvres, souvenir qui vacille,
effleurent encore mes matins lents,
comme un soupir sur l'argile,
avant que tout redevienne blanc.
Didier Guy
lundi 5 mai 2025
L'aube en éclats
Glasilabes
dimanche 4 mai 2025
Aurore Fantôme
jeudi 1 mai 2025
Mirage du Désert
L' Encre Vive
L'encre coule, rouge et vive, sur la page, elle s'étale, une vie naît, fugitive, sous la main qui la révèle. Le poète, tel un créate...
-
L'âme de la route Sous le poids des étoiles, dans l'ombre des grands cieux, ma cabine devient un temple silencieux. Les vers dansen...
-
Dans un monde où les lois se taisent, un homme se dresse, les foules il enlace. Populiste, autoritaire, il s'impose, son virilisme, u...